Les forêts....
Verte ou rouge, sombre ou lumineuse.
La seule compensation.
Seule compensation à la solitude, au vide, à l'obéissance.
Les feuilles commençait à se coloré, l'hiver tant espéré approchait et pourtant restait si loin.
La forêt et la neige était les seuls paysage qui avait le don de l'emplir. Il ne nécessitait ni parole, ni superflu. Juste une écoute, une endurance et une nature sauvage et froide.
Si les steppes de neige de Sibérie lui manquait, les forêts compensait un peu. Par leur silence si rempli, par leur nature sauvage et indomptable, malgré ce que les gens pouvait en croire, elle était dans les seuls endroit où Sorcha se sentait moins vide, ou plutôt qu'elle ressentait avec moins d'acuité se vide, cette absence qu'elle avait toujours eu.
Pourtant elle y venait rarement, car depuis qu'elle avait vu les forêts, elle s'était demander si sa sœur en voyait de pareil. Quel pouvait être sa vie, ses liberté, ses vides. Et pensez à sa sœur la remettait en question, ramenait le savoir de son devoir et de son vide.
Elle n'avait aucune colère contre sa tante, juste une immense déception qu'elle n'ait pas comprit et qu'elle-même n'ait pu avoir une partenaire. Et pourtant, elle savait au fond d'elle qu'elle était une solitaire, une solitaire à qui il lui manquait une moitié d'âme.
Alors elle s'entrainait à chasser les écureuils et autres animaux qu'elle voyait avec ses pouvoirs. Elle devait faire attention à chaque geste chaque utilisation qui pouvait la trahir à l'institut, mais ici, elle pouvait être plus libre.