chambre d'Emma frost [entrée fracasante]

Je n’ai pas peur, alors que même la mort me menace, je n’ai pas peur alors que l’homme se dresse devant moi.. J’était calme, je cherchait a réfléchir a comprendre ce qui m’arrivait, j’avais l’impression dans cet endroit de me ramollir, de devenir comme toute ces jeunes mou et sans vie, je ne voulait pas de cela, je ne voulais pas devenir comme les autres, je ne voulais pas que l’on m’oublie, et pourtant je ne voulais pas que les autres soient blesser.

Je ne sais pas ce qui se passe dans ma vie, je n’y comprend pas grand chose, dire que j’était venue ici pour trouver des réponse, et qu’a présent, je vis ici, dans cette maison, entourée de personne qui possède des don comme moi mais personne n’est comme moi, personne n’a été créer pour devenir une arme… Enfin peu être je me pose des question sur la russe qui loge dans ma chambre, enfin dans notre chambre, dieu que je n’aime pas partager… Il y a quelque chose en elle qui me donne envie de me méfier, mais il faut bien que je l’avoue je me méfie de tous et toute…

Comme de cet homme qui se dresse devant moi, je ne sais pas comment il m’a retrouver ici dans l’institut. Je sais qu’il ne fait pas partie du gouvernement, il n’on pas ces manières, fonce dans le tas comme des gros idiots… Je voix bien le fusil dans sa main, et je me doute de ce qu’il veux, me tuer, mais pourquoi, d’ou viens cette silhouette… Doucement je cherche dans ma mémoire.

Ha oui je me rappelle, je me souviens, il y a deux trois ans, un homme qui a essayer de nous arnaquer, moi et celle qui m’hébergeait, celle qui la première m’a tendus, la main, je me rappelle de cet homme qui avait faillit la tuer, un mafieux, entourer de mutant qu’il droguait pour qu’il lui obéisse, je me rappelle al cicatrice que je lui avait fait sur son visage. Joli marque de griffe…

Enfin un peu d’action, tranquillement, malgré la douleur qui ravage mes phalange, je sort mes griffes, doucement je me prépare a attaquer, le coup de feu, la douleur dans mon bras, mais qu’elle importance, sans un bruit je bondit, je n’ai pas peur, je ne ressent rien en fait, je n’ai jamais eu de plaisir a tuer, mais cela ne m’a jamais troubler non plus… Sans aucun remords, je lui enfonce les griffes dans le cœur, j’adore le bruit qu’elle font quand elle plonge dans la chair, j’ai toujours trouver ce bruit apaisant, paisible..

J’ai toujours eu des faciliter a tuer, je n’ai aucun remord alors que j’entends l’homme s’étouffer dans le sol, pourtant soudain je grimace une douleur a la cuisse, avec quoi ce con m’a t’il piquer, un frisson parcours mes épaules, alors que ma jambe se détends, envoyant valser l’homme au loin, je me fiche de ce qu’il vas advenir, d’un mouvement, je retire la seringue de ma jambe, pour la renifler, ca vas ce n’est pas du sérum.. J’en connais l’odeur, ma mère, celle que je considérer comme telle celle que j’ai tuer, m’a appris a en reconnaître l’odeur…

Pourtant je me sent étrange, comme affaiblie. Poussant un gémissement, je me met en marche, je sais qu’un calmant ordinaire ne peux rien me faire, mais peu être est-ce une nouvelle substance, quelque chose qui ralentis mes don, en effet ma blessure a l’épaules, ne cicatrice pas aussi vite que d’habitude, et mes sens son moins utile qu’avant, comme si on m’avais jeter du poivre dans le museau.

Difficilement je grimpe a un arbre, celui qui doit me conduire a ma chambre, pas envie de passer par le couloir, grimper c’est facile mes griffe s’enfonce dans le tronc, et enfin j’atteints la branche que je veux.. Flutte la fenêtre est fermée… Bas tant pis..
Me ramassant sur moi même je bondis, fracassant la fenêtre, finissant mon saut dans un rouler bouler, j’ai un peu la tête qui tourne, et des éclats de verre son figée dans ma peau…

Je ne suis pas chez moi… Et je ne sais pas ou je suis, sortant a nouveau mes griffes, je ferme les yeux… Ma tête tourne mais je m’en fiche, je sens un menace, doucement je retrousse mes lèvres ressemblant étrangement a un chat en colère, mes yeux son un peu troubler, mais je m’en fiche si quelqu’un m’attaque, je le tue… Déjà dans mes veines je sens le produit se dissoudre et mes blessure se guérire, mais je suis couverte de sang, mon tops sombre est déchirer et mon short n’est pas mieux.

« Qui est là ? »

Oui oui c’est fort mais bon je ne réfléchis plus, on viens de m’attaquer, et j’ai pas envie d’en subir une deuxiéme.