Besoin de calme || Sati ^^

Cher journal, C’est étrange mais je me sens bien ici, oui bon c’est un peu bruyant, mais je me sens si bien dans la nature… Pour tout dire, l’une de nos moniteur ou professeur est du genre lourds, mais bon il faut bien faire avec…Je suis ravie de me retrouver avec la personne avec qui je partage ma tente… J’aime la nature, je n’avais jamais remarquer comme la ville m’usait… Enfin il faut que je trouve la solution pour m’éloigner seule…

Elle s’était changer, la jupe qu’elle portait était assez courte, comme le top qu’elle portait, c’était étrange elle se sentait comme su existée, son corps ne semblait pas vouloir la laisser tranquille, elle savait qu’elle ne devait pas utiliser ces don, mais comment faire elle semblait bouillir littéralement… Trop de sensation a la fois…
Regardant discrètement autour d’elle, elle se sourit, enfin le cyclope regardais ailleurs… Et la tente était montée, cela signifiais simplement qu’elle n’aura pas laissé le travail a sa colocataires…

Un sourire sur ces lèvres, et elle s’éloigne, s’enfonçant dans les bois, il faut qu’elle trouve un endroit sans personne, oui un endroit ou elle pourra prendre le temps de savourer l’odeur des bois, ces pieds nu foulait le sol, sans faire aucune bruit, c’était si bon de sentir la terre sous la plante de ces pieds, elle se sentait a sa place…

Ca fait quelque temps qu’elle avait envie d’essayer quelque chose, fermant les yeux, elle laissa ces sens prendre le dessus, elle avait l’impression de ne plus faire qu’un avec les arbres, les plantes… Posant un main sur un arbre, elle se coula en lui… Comme une nymphe une dryades, ne plus faire qu’un avec les arbres, son cœur battait bien plus doucement qu’elle ne le pensait.

Oui ça fait tellement de bien, doucement ce glisser d’arbre en arbre, en fait si quelqu’un la voyait en cet instant il aurais sûrement penser qu’il rêvais, elle incarnais a cet instant précis le mythe des dryades, ces femmes qui vivait en même temps que les arbres, qui les soignais, qui pouvait se fondre en eux… Dieu que c’est bon, elle avait un peu l’impression de se perdre, mais qu’elle importance, elle se sentait presque entière…

Soudain la jeune femme se stoppa, une odeur qu’elle connaissait, un sourire qui se dessine sur ces lèvres… Oui elle la connais, elle n’avait pas encore remarquer que ces cheveux avais prés des couleur légèrement verdâtre, comme des mèches dans ces cheveux sombre… Il faut qu’elle aille voir cette odeur… D’un pas souple, silencieux, comme une ombre dans les sous bois, tiens Victor, il n’a pas l’air bien…

Un pincement au cœur, elle a tellement peur de le perdre… Peur qu’il ne veuille pas d’elle.. Depuis quelque temps il ne cesse d’hanté ces pensées et même ces rêves le plus intime… Des rêves qui la font légèrement rougir quand elle se réveille le matin, le souffle un peu trop court. Peu t’elle le déranger, peu t’elle essayer de le consoler…. Essayer de faire qu’il se sent moins seul…

Dans son dos elle senti comme une poussée un branche la poussait vers l’homme… C’est elle qui a fait cela, ou alors les arbre réagisse tout seul.. A quoi bon réfléchir, doucement elle se mit en marche, ne faisant pas de bruit, ils étaient loin de tout le monde a l’abris des regard… Le pas silencieux et souple de la jeune femme l’approcha rapidement de l’homme, s’agenouillant un instant derrière lui, elle passa ces main autour de son cou, son corps souple et chaud se collant a son dos… Poser sa tête au creux de son cou, elle ne sait pas trop que dire, alors il faut mieux faire silence, juste profiter de la chaleur de l’homme, de son souffle, des battements de son cœur, revenir doucement a elle, parce qu’elle avait bien faillit se perdre, disparaître dans les bois pour ne plus revenir…

Doucement serrer un peu plus son corps contre le dos de l’homme, ces bras l’enserrant doucement, dans une douce étreintes… Pour le rassurer, comme pour lui dire qu’il n’est pas tous seule, qu’elle non plus ne l’est pas…

Je t’en prie Victor ne me repousse pas…

Ce cœur qui s’emballe c’est le sien ou celui du jeune homme, elle n’en sait plus rien, et pour tout dire elle ne veut pas le savoir, elle veut juste profiter un peu du calme qu’elle ressent de la chaleur qu’elle sent se diffuser dans son corps… Ces lèvres sur sa peau, une brûlure qu’elle veut connaître encore… Pour tout dire tous cela lui fait peur, mais elle ne veut plus rien regretter, et si elle ne se laisse pas porter elle regrettera… Elle aurais tant voulut pouvoir dissimuler ce qu’elle ressentait, elle aurais tant voulut ne pas lui montrer mais c’est impossible son regard parle pour elle comme jamais auparavant..
Avec lui elle ne peu rien cacher, elle ne peut rien dissimuler…

Lui faire du mal, la jeune femme fronça un instant les sourcils sans encore rien dire parce qu’elle avait peur que sa voix se casse. De peur peu être que l’homme n’aille pas jusqu’au bout de sa pensée. Quand l’homme se détourna un instant elle eu un coup au cœur, elle savait que si elle se laissait trop aller un jours elle souffrirais, qu’il la blesserais, mais disons que c’est plus fort qu’elle… Plus fort que tous ce qu’elle n’a jamais éprouver…

Bien sur qu’elle savait ce qu’il était, un homme, ou un loup solitaire, un être qui n’avaient jamais trouver la paix… Quelqu’un de perdus, jamais elle ne l’avait considérer comme une machine a tuer, parce qu’elle savait, elle voulait croire qu’il y avait quelque chose d’autre au fond de lui, quelque chose qui ressortait juste pour elle…

« Tu es toi Victor et c’est cela que j’aime, tu n’es pas comme les autres, tu ne fais pas de fausse promesse… Je n’ai pas peur de toi, je n’ai jamais eu peur. »

Il ne pouvait pas aimer ? C’est vrai, vraiment vrai, la jeune femme se déplace doucement, venant se placer juste devant le mutant, plongeant ces yeux dans les siens, qu’importe qu’il lise son âme, qu’il lise ce qu’elle ressentait pour lui.. Qu’importe le monde entier… Doucement venir poser sa main sur le visage de l’homme, et lui caresser délicatement la joue…

« Je ne te demande pas de m’aimer… Mais juste que tu me laissé t’aimer. Je.. je veux que tu soient le premier. »

Oula qu’est ce qu’elle vient de dire… La rougeur monta au joue de la jeune femme, et la chaleur de son corps monta d’un cran, mon dieu mais enfin qu’est ce qu’il lui arrive, d’un bond elle se redressa, s’approchant du bord de l’eau… Pencher la tête vers l’eau pour cacher son expression, elle disait un peu trop ce qu’elle pensait.

« Je suis désolée je n’aurais pas du dire cela. »

C’est surtout qu’elle ne voulait pas que le jeune homme se sente enfermer, elle ne voulait pas qu’il aille un jour envie de la laissé, de ne plus lui donner des nouvelles, si il partait et ne lui parlais plus, si il la repoussais trop violemment, elle se briserais…elle ne tiendrais pas sans personne… Sans lui, elle se sentirais encore une fois comme vidée de toute forces… Doucement serré autour d’elle ces bras, les épaules basse, elle semblait encore une fois si fragile, mais a l’intérieur, elle était bien plus fort qu’il n’y paraissait.

Cette fichue impression d’être au bords du gouffre, cette sensation que bientôt elle vas sauter, que bientôt elle vas se laisser tomber.. Pour tout dire même si elle a dit a tout le monde qu’elle ne se rappelait presque rien de la soirée qu’elle a passé avec Julian, en fait elle s’en rappelle pas mal, elle sait qu’elle lui a presque sauter au cou, non qu’elle lui a sauté au cou, parce qu’elle avait peur de ce qu’elle ressentait pour Victor, parce qu’elle avait peur de ce qu’il pourrait dire, elle avait voulut oublier toute ces pensées… Mais a vrai dire elle n’y avait pas réussis, a chaque fois que les lèvres du mutant se posait sur les siennes, elle aurais voulut sentir celle de Victor, c’est lui qu’elle aurais voulut pouvoir embrasser, toucher… Elle ne comprenait pas trop ce qui lui arrivais, elle n’était pas innocente au point de ne pas comprendre qu’elle le désirait mais pourquoi lui…

Pourquoi est-ce qu’elle a si froid a cet instant, pourquoi elle se sent.. Si seule… Cette main qui se pose sur son épaules la fit trembler doucement, parce qu’elle avait peur, peur de ce que pourrais dire l’ancien mutant, si il la repoussait vraiment, si il lui disait qu’il ne voulait plus la revoir, elle ne s’en remettrais pas, pour une fois qu’elle se sentait vraiment bien avec quelqu’un… Il l’empêchait de se sentir seule, de sentir ce vide dans son cœur, son corps…

Ne pas lui faire de mal, il est marrant lui, il son vivant, il parle ressente, un jours ou l’autre dans n’importe quelle genre de relation l’on souffre, c’est ce qui fait la beauté des choses, parce que les blessures on peu les soigner… Que le sexe… Si il ne pouvait lui donner que cela pourquoi elle le refuserais, de toute façon elle n’a jamais crut que les chose pouvait durer, entre personne… Il ne voulait pas faire d’elle un objet… La jeune femme poussa doucement un soupire, qui la fit frémir, qu’est ce qu’elle devais en penser… Bien sur qu’elle savait qu’elle risquait de tomber dans les bras d’un prédateur, mais c’est un peu ce qui lui plaisais en lui, elle ne voulait pas d’un de ces hommes qui plie sans jamais rien dire…

Quelqu’un dans l’école, la jeune femme eu un petit rire, bien sur qu’il aurait put y avoir des gens auqu’elle elle pourrais s’accrocher, mais jamais comme avec lui, et puis elle n’en voulait pas… Doucement elle se laissa aller contre lui, réfléchissant un instant, ces yeux perdus sur les eaux du lac… Une protection… Une protection… La jeune femme eu un rire qui ressembla étrangement a un hoquet… un rire qui ressemblait étrangement a des larmes… Pourquoi est-ce qu’elle ressent ce genre de colère, comme si elle n’avais rien vécut, comme si elle n’avais pas été assez rejetée… Comme si sa vie ne lui avait pas apporter assez de douleur, ne peux t’elle une seule fois avoir un peu de douceur, un peu de chaleur, elle n’a pas peur de la douleur, pas depuis qu’elle sait qu’il lui suffit de prendre leur énergie. Et la seule façon qu’elle connais pour ne pas qu’il voient la douleur qui ravage son cœur, son corps, c’est la colères, il faut pas qu’il voient le gouffre que ces mots on ouvert dans son esprit, dans son âme.

« Putain j’en ai marre qu’on me couve… Tu t’en fiche… En fait je t’emmerde c’est cela … »

Tremblante la jeune femme rejeta le bras de l’ancien mutant, avant de se retourner ces pieds nus frôlant l’eau, ces yeux, vert brillant d’un lueur douloureux, comme si toute sa douleur se trouvait a cet endroit…

« Tu t’en fiche hein que j’aille coucher avec Julian… Tu t’en fiche n’est-ce pas si je me jette a la tête de Kevin, et tu te fiche de savoir que c’est a toi que je penserais, a toi que je pensais… Tu t’en fiche n’est pas… »

Ne jamais énerver quelqu’un qui ne dirige pas vraiment ces pouvoirs, autour de la jeune femme, la flore sembla prendre vie, l’herbe poussa bien plus dru, et même les arbre semblait en colère… Puis le barrage céda, et les larmes dévalèrent le long de joue de la jeune femme, alors qu’elle baissa le visage, les épaules secouée par des sanglots.
Il faut qu’elle parte.. Et vite… sans plus regarder Victor elle passa a coté de lui…. Il faut qu’elle se cache..

Retiens moi je t’en prie Victor…

J'ai mal si mal, mon coeur semble vouloir se déchirer en deux, pourquoi est-ce que personne ne peux me comprendre, pourquoi je dois toujours souffrire quand je m'attache...

Il faut blesser, autant qu'il l'a blesser, elle en réfléchit plus a cet instant, elle se sent mal, elle sait qu'elle n'aurais pas du dire ce qu'elle avait dit, mais comment faire autrement, elle reagis a l'instinc comme toujours, encore plus depuis qu'elle a accepter son don. La nature peu être douce, mais aussi mortelle, il ne faudrais pas l'oublier, elle n'est pas sans défense, elle n'est pas une enfant fragile... Elle ne l'est plus depuis la mort de sa soeur, cette femme qu'elle aimait plus que tout, qui était une partie d'elle. Pourquoi personne ne peut t'il la désirer, pourquoi ce qu'elle veut doit t'il toujours lui être retirer...

La main sur la sienne, et le sol sous ces fesses, elle s'y était un peu attendues, mais que faire, il l'avait retenus, c'était déjà cela, pour tout dire même la colére de Victor ne lui faisait pas peur, elle préférais cela qu'il ne fasse rien, parce que si il se mettait en colére, c'est qu'il éprouvait quelque chose, qu'elle avait touchez un point sensible... Non elle ne savait pas, elle ne comprenait pas, normale il ne finissait aps ces phrase... Alors il était jaloux, tant mieux... Cela voulait dire qu'il éprouvait un petit quelque chose pour elle.

Faire ca pour elle, mais ca lui faisait mal, ce qui semble le meilleur peu être le plus douloureux... Jamais se trouver loin de ceux que l'on aime n'ai bon, la douleur est toujours la ravageuse.... Mais sasn lui elle ne peux pas ressentir de l'envie, les deux mois qu'il a disparus, elle a crus mourire a plusieur reprise, plus rien n'avait de gout même pas la danse, elle n'arrivait plus a voir la vie du bon coté...

Il pleure a cause d'elle, la jeune femme sentit un douleur dans son ventre, sans qu'elle ne puisse retenir les larmes qui continuait a couler le long de ces joues, elle savait qu'elle ressentait tout cela bien trop fort, mais comment faire autrement. Arrétez de pleurer, elle voulait bien mais elle s'en sentait incapable, elle sent sentait complétement incapable.

Se blottir contre le jeune home, le corps secouer de sanglot silencieux, elle n'avais jamais vraiment été de ces fille qui pleurais bruyament, en fait elle n'aimait pas pleurer devant les autres, enfouissant son visage dans le cou de l'homme, elle savoura un instant sa chaleur, la force qu'elle sentait dans se corps... C'est vrai que c'est ironique, un petit hoquet qui ressemblait a un rire lui fut tirer, mais que dire, elle ne savait plus, elle n'avait jamais été douée pour parler, a chaque fois qu'elle disait queqlue chose elle blessait l'autre, elle disait une bêtise.

Doucement reprendre son souffle et se décoler un peu de l'homme, sans pourtant rompre son étreinte, les yeux de la jeune femme ressemblait un peu a une forets sous la pluie, le vert tendre de ces iris noyer dans les larmes... Les mots font mal, il ne faut rien dire, juste agir... Doucement passer sa langue sur ce lévres, avant de briser la distance, ces lévres se posant sur celle de Victor, en douceur, un baiser un peu hessitant au gout salé... Ces doigts venant se meler dans cheveux de l'humain, elle en avait tant réver... Décolant un instant ces lévres, pour murmurer quelque mots...

"Ne me laisse pas.. Laisse moi une chance, je veux tenter le temps qu cela durera... Sil te plait."

Rien de plus, elle veux juste ce qu'il peu lui donner pas plus, elle verra bien par la suite, de toute facon la vie est douleur, mais elle veux juste un peu avoir quelque chose pour elle.

Quelqu’un lui avait dit un fois que quand elle le voulait, elle pouvait se faire séduisante, presque animal, comme une déesse de la nature, mais elle ne le croyait pas, elle ne pouvait montré cette partie d’elle que lorsqu’elle dansait, elle n’était pas le genre de fille qui allumait les hommes, en fait elle cherchait plus a se cacher autre chose, mais de plus avec Victor elle ne sais pas comment faire pour le séduire, alors qu’elle le voulait tant.

Sa bouche, celle de Victor avait un goût de danger, quelque chose de dangereux qui pouvait la détruire, mais elle s’en fichait, c’était cela qui était grisant, son corps commençait doucement a se réchauffer… Il faut qu’elle prenne une décision… Même si elle ne connaît pas la question, il faut qu’elle trouve une solution.

C’est trop tard Victor, mais elle ne le dirais pas, il avait déjà sa confiance, elle pourrais elle le savait tout faire pour lui, elle pourrais même vendre son âme au diable, elle se jetterais presque sans peur dans le danger. Non elle ne voulait pas ne plus lui faire confiance.
Un soupire de plaisir lui échappe quand la main de Victor lui caresse la joue, depuis longtemps la jeune femme était quelqu’un qui réagissait plus a l’instinct qu’autre chose.

De nouveau ces lèvres sur les siennes… Les bras de la jeune femme venant s’enrouler autour du cou du mutant ces doigts se mêlant a ces cheveux… Le corps souple de la jeune mutant cherchant a se rapprocher le plus possible de celui de l’humain.. Son corps chaud, cherchant a se fondre dans celui de l’homme, a travers ces vêtements elle sentait la chaleur de Victor elle en voulait plus, mais elle ne savait comment le demander…

A présent les yeux de la jeune femme ne brillait plus de tristesse, mais juste d’envie… Un petit rire lui échappe, couple de l’année, mais elle s’en fiche de ce que pense les autres, personne ne pourra le lui prendre.

« J’m’en fou… Je fais ce que je veux… Et puis je suis dangereuse moi aussi. »

La jeune femme eu un petit sourire assez amuser, avant de pousser délicatement l’ancien mutant, ces deux mains sur sa poitrine… Le pousser au sol, le jeune homme pouvait sentir les plantes bouger doucement, doucement la jeune femme s’assit délicatement sur son bas ventre, ces yeux brillant d’amusement… Mais d’un faim aussi qu’elle ne savait pas pouvoir ressentir…

« Tu sais quoi j’ai faim… j’peux te goûter. »

Avec un petit rire elle viens mordiller doucement le cou du jeune homme, elle savait que le jeux était dangereux, mais elle savait aussi qu’elle voulait y jouer.

Alors comme ça on ne voulait pas que j'intervienne, hein ? Ben tiens ! Juste pour la peine ! Et je ne citerai pas ma source, le papa noël sait tout ! Et moi aussi ! Vous pensiez vraiment vous en sortir comme ça hein ? xD
Voici ce que je vous "propose", je ne vous fais pas de speech, vous connaissez tous les deux le principe :

1 - La dame du lac débarque et essaie de refourguer une fausse excalibur à l'un de vous deux.
2 - Un sanglier débarque et vous charge.
3 - Il semblerait que vous ne soyez pas seuls dans cet endroit romantique, car deux lapins copulent à côté de vous.
4 - L'usine du musée de la pantoufle jette ses cochonneries en semelle de caoutchouc puant dans le lac.
5 - Les pompiers débarquent en croyant qu'il y a le feu.
6 - Tout en même temps !

Le résultat est : 1 !

La fée Viviane de son surnom, la dame du lac, avait fait parti des premiers rares mutant qui sévissaient à l'époque médiévale, la même qui avait enlevé Lancelot à ses parents, le morveux l'avait mordue à l'époque. Elle fut malheureusement endormie par le grand Merlin l'enchanteur, un autre mutant. Etait-ce pendant l'un de ses discours ? Peut-être pas, mais elle se souvenait que c'était de sa faute, il l'avait certainement plongée dans un de ces sommeils sans rêves et sans vieillissement dont il avait le secret. Tout ce dont elle se souvenait aussi était que ses derniers actes se passèrent dans une taverne puante où après quelques verres, elle ne se souvenait plus de rien. Lorsqu'elle entendit du bruit, cela la réveilla enfin, elle qui aurait cru être réveillée par un beau et grand prince charmant, elle fut quelques peu déçue, mais ne fit pas la fine bouche, au moins elle était réveillée. Enfin presque, parce que même avec quelques millénaires dans les pattes, elle avait encore la gueule de bois de la veille, mais si Merlin existait toujours, il lui faudrait le retrouver et avec lui combattre Morgane la fée, la terrible "méchante" de l'histoire. Peut-être était-ce pour ça qu'il l'avait endormie. Et maintenant qu'elle le remarquait, elle n'avait plus ses vêtements, oh le coquin ! Elle espérait maintenant qu'il soit vraiment mort avant qu'elle ne se charge de son cas. Viviane avait heureusement un pouvoir pratique qui lui avait permis de se réveiller sans dégâts au fond du lac. Elle pouvait transformer son corps en eau. Elle utiliserait donc ce pouvoir pour se balader un peu sans être vraiment toute nue. A moins que les mâles de cette époque ne soient plus attirés par ses courbes, d'ailleurs, en quelle année était-elle maintenant ? Une autre chose qu'on lui avait laissée, c'était excalibur, à côté d'elle, l'épée brillait de milles feux, enfin, elle aurait dû, car la rouille avait à présent eu raison de l'épée, ce qui n'était pas normal pour une épée légendaire, mais une étiquette en parchemin était attachée au manche et semblait très bien expliquer la situation :

Grrr, lui, il ne perdait rien pour attendre ! Mais elle ne pouvait plus ce venger de ce vieux magouilleur ! Dommage ! Elle saisit l'épée et sortit la tête de l'eau, émergant à la surface avec l'épée, elle remarqua qu'un homme embrassait une jeune femme sur la rive, ils osaient faire ça en public ? Beurk ! Elle se dirigea alors vers eux, et de loin, cela ressemblait presque à une vieille blague de Chuck Campbell, le prof blagueur des X-Men. Lorsqu'elle arriva à leurs côtés, elle leur dit :

"Premièrement, cessez vos cochonneries sur le bord de mon lac ! Où vous croyez-vous ?"

Ils étaient pire de près que de loin, et d'ailleurs, la ressemblance frappante entre la jeune fille et Morgane ne lui avait pas échappée.

"Qui êtes-vous donc ? Je me présente, Viviane la fée, Dame du Lac, je cherche une hardie personne pour réaliser une quête risquée contre la fée Morgane, d'ailleurs, ne serait-ce pas elle ? En quelle année sommes-nous ?"

Peu importe si la jeune femme était ou non Morgane, le temps pressait, il fallait que l'épée désigne son possesseur, dans ce cas, elle n'était aucunement magique et n'avait donc pas besoin de rocher, elle proposa donc au jeune homme à l'air assez costaud qui semblait être à la hauteur de la tâche.

"Jeune homme, voulez-vous accepter cette quête avec moi et prendre cette épée, qui, au nom des dieux celtes, vous choisira ? Bon, d'accord, elle ne vous choisira pas parce qu'elle est en toc, mais c'est toujours ça de pris !"

Bien sur qu’elle savait ce qu’elle risquait, en tous cas elle en avait une petite idée. Elle n’avait qu’une idée en tête, celle de séduire le jeune homme, c’était tous ce qui comptait, elle ne voulait pas qu’il parte, elle ne voulait pas qu’il voient autre chose qu’elle a cet instant. La jeune mutante savait parfaitement qu’elle se mettait en danger, mais le danger avait tellement de goût, elle avait tellement envie de se brûler les ailes… Pour une fois ne pas faire attention a ce qu’elle fait, ne pas faire attention a ne pas se blesser.

Ces mains sur ces hanches.. Ca la rend légèrement folle, c’est si facile de prendre pieds comme cela, un soupire quand l’homme viens a la coller contre lui.
Un sourire séducteur qui s’affiche sur ces lèvres, alors qu’elle se retrouve sur le dos, ces yeux pétillait comme jamais, elle se sentait si vivante, en fait c’est comme si la fonction pour réfléchir venait de la quitter, elle ne pensait plus qu’au plaisir qu’elle avait de sentir les main de l’homme sur son corps, de sentir sa présence prés de son corps… Il fait si chaud…

Ces lèvres sur les siennes, la passion de la jeune femme était à l’égale de celle de l’humaine, ces mains cherchaient a percer les vêtements, s’enroulant autour de son coup, elle ne voulait qu’un chose. Les mains de la jeune femme s’infiltrèrent doucement sous les vêtements de l’homme, caressant les muscles de son dos.

Pour l’instant elle ne pensait strictement a rien, ha si a une chose, il y avait un peu trop de vêtements sur eux deux. Courber le cou pour laisser l’homme faire ce qu’il voulait. Elle se sentait tellement différent, comme si elle avait perdu pieds…Comme si elle ne pouvait plus réfléchir… Ces mains descendirent un peu plus bas, venant effleurer les fesses de l’homme…

Mais putain on ne peux jamais les laisser en paix, la jeune femme sentit son corps se raidir… Alors qu’elle poussait comme un grondement… Non mais cela ne se fait pas. La jeune femme ferma un instant les yeux pour calmer la colère qui monte en elle.. Oui parce qu’elle se sent légèrement en colère, plus que cela, elle ne sait pas si c’est une blague ou quelque chose de vrai, mais cela l’énerve comme pas possible.

Viviane, Morgane, non mais c’est quoi cette connerie. Non mais… La jeune femme eu un grondement un peu plus rauque, alors que la terre tremblait autour d’elle… Une terre qui se souleva un instant pour faire un écran entre eux d’eux et l’autre idiote… La jeune femme poussa un soupire, avant de venir murmurer quelque mot a l’oreille de Victor .


« On vas ailleurs. »

Oui ailleurs… La jeune femme se redressa doucement, avant de saisir la main de Victor, pas envie de jouer avec des folles a poil dans l’eau, en plus c’est sûrement une salle blague. Un instant rajuster ces vêtements, et tiré le jeune homme avec elle.

[HJ: je te déteste Charity ! Qu'est ce que tu veux qu'on réponde à CA ! xD]

Victor était hors contrôle. Il ne désirait plus qu'une chose, le corps de celle qu'il avait dans les bras. Il ne réfléchissait plus, et se laissait pousser par ses envies. Tout aurait put aller très vite, mais quelque chose d'inattendu intervint. Victor ne comprit pas tout, et de toute façon il s'en fichait sacrément. De cette Viviane ou autre chose... Il continuait d'embrasser le cou de la belle demoiselle. Lorsque gênée, elle se releva quand même, en lui soufflant d'aller ailleurs. Victor releva son visage et fronça les sourcils avant de lever un regard noir à cette femme qui devait être complètement folle. D'un air un peu troublé, il regarda Satinka rajuster ses vêtements avant de le prendre par la main pour aller ailleurs.

Il la suivit sans broncher. D'ailleurs... Que faire... A l'instant, il était dans un état tel qu'il ne voulait plus qu'une seule chose... Trop long... Il finit de passer devant et attrapa Satinka par la taille tout en la soulevant. Il connaissait un endroit dans la forêt. Ils ne devraient pas être dérangés.

Ils arrivèrent près d'une petite cabane qui semblait abandonné. Il poussa la porte mangé par les pucerons et entra à l'intérieur. Il la posa de nouveau par terre, dans un endroit pas trop inconfortable. D'un geste rapide, il retira pull et chemise avant de retourner à ce qu'ils étaient en train de faire.

" On ne sera plus embêté. "

Il se colla à elle de nouveau avant de poser de nouveau ses lèvres sur les siennes. Il se posa entre ses cuisses avant de passer sa main pour relever sa jupe d'un geste un peu plus sauvage. Il perdit de nouveau pied, alors qu'il descendait doucement ses lèvres dans son décolleté.

Est-ce possible de se laisser porter aussi facilement, de se laisser posséder comme cela par la passion.. Elle qui avait toujours chercher a repousser le plus loin possible tous ces sentiments. Elle qui jamais ne voulait se lier de peur de se perdre, de perdre ce qu’elle était, et ce qu’elle devait être, depuis la mort de sa sœur, elle avait tout fait pour que les gens ne restent pas prés d’elle. Tous dans son comportement, la faisait apparaître comme une jeune femme sur d’elle, et sans peur, seulement sans peur elle ne l’était pas du tout, tous lui faisait peur, elle n’était pas du tout rebelle, elle était même plutôt quelqu’un qui cherchait toujours a passer inaperçue, mais elle savait qu’a l’institut certain professeur ne l’aimait pas, parce qu’elle ne rentrait pas dans les normes…

Alors laisser Victor toucher plus que son corps était quelque chose pour elle, de complètement fou, dangereux, tous cela elle le savait. Elle savait parfaitement que quand tous ce terminera, elle vas encore s’écrouler, sans peu être réussir a se redresser, mais cela ne lui fait pas peur, elle a prit depuis quelque temps, l’habitude de vivre heure par heure, jours par jours, trop chercher a voir devant soit est quelque chose de dangereux, de malheureux aussi.

Un petit rire lui fut tirer quand Victor la souleva, sans aucune peur elle passa ces bras autour de son cou,le laissant faire, son corps souple de danseuse, se collant le plus possible au corps du jeune homme… La forets c’était son endroit, son paradis, et elle savait que la bas personne ne pourrais les ennuyer, parce que les arbres, empêcherais qui conque de passer…

La cabanes était peu être complètement démolie, mais pour tout dire la jeune femme ne se souciait absolument pas de cela, ce qui l’intéressait plutôt c’était l’envie dans le regard de l’ancien, mutant, et la chaleur que se regard créait en elle, elle pouvait donner une telle envie a un homme…

D’ailleurs son regard ne quitta pas vraiment le jeune homme, dévorant son torse quand il le dévoila, il était tellement différents des hommes qu’elle avait vus, bien oui elle en avait vus, ce n’était pas rare que pendant les cours, les hommes finissent torse nu.. Mais personne n’avait la même musculature que lui… Non personne, c’est étrange cette légère angoisse qui naît en elle, et si elle ne lui plaisait pas, si elle ne se montrait pas a la hauteur…

Mais le baiser qu’il lui donna lui fit tout oublier, un soupire lui échappa alors qu’elle cambrait le coup, offrant qu jeune homme, tous ce qu’il voulait, comme toujours elle laissait faire son instinct, un instinct qui poussait ces mains a courir sur le torse du jeune homme, a descendre toujours plus bas… A venir se poser sur l’attache de son pantalon, chercher d’un main hésitante a le détacher, cherchant d’un main tremblante, a trouver le centre de sa virilité, les mains de la jeune femme était hésitante mais décider, comme si elle jouait cette danse pour la premier fois.

Oui je veux apprendre …
Avec toi Victor
Et seulement toi..
L’amour n’est pas une mer calme
Il est tempête…

A cet instant la jeune femme n’avait aucune envie de réfléchir, elle n’avait aucune envie de s’échapper des bras de celui qui allait devenir son amant. Pourtant elle avait légèrement peur, peur que son corps ne plaise pas a l’homme, qu’elle ne lui donne pas satisfaction, qu’elle ne soient pas a la hauteur. Dieu que ces mains son douce et forte a la fois… Tellement différente des mains de tous ces hommes qui ne font rien, des mains de personne qui avait vécut, forte et pourtant douce. C’est comme cela qu’elle le ressentait.
La passion de l’homme lui faisait perdre pied. Complètement sous le charme sous l’envie, elle ne pouvait pas s’empêcher de soupire, de pousser même de petit cris, ces joues rougissant, a cause de l’envie, du plaisir…

Elle le laissa la guider, c’est tous ce qu’elle demandais, a apprendre , a apprendre pour lui faire plaisir, pour qu’il soient satisfait tout les deux, les mains de la jeune femme se firent plus sure, plus caressante, plus caressante, elle se laissait porter par le plaisir, par l’envie, ne se fier qu’a son instinct, se laisser simplement aller a l’envie, c’est le plus simple a faire.

Ces mains qui glisse sur son corps, et les sienne qui glisse sur celui de l’homme, elle aimait sentit cette peau chaude et ci vivante… Le corps de la jeune femme lui donnait l’impression d’être brûlent, comme si elle ne pouvait rien faire d’autre que ressentir, et ressentir comme cela elle ne l’avait encore jamais fait. Quand la main de Victor s’aventura sur le secret de sa féminité, la jeune femme poussa un gémissement assez profond, se cambrant sous cette main, elle n’avait pas mal, en fait il lui semblait que quoi qu’il puisse faire cela ne lui ferait pas mal..

Chaque geste même un peu brusque, la faisait gémir de plaisir et lui donnait envie d’aller plus loin, toujours, elle n’avait plus aucune peur. Non plus du tout peur, en fait elle ne voulait plus tout de suite, un peu comme lui il semblerais…
Un gémissement de douleur, mais aussi de plaisir résonna un instant dans la cabanes, lors que l’hymen se brisait. Mais elle oublie vite la douleur seul le plaisir conte, rien de plus rien de moi…

Les mains de la jeune femme se nouèrent au épaule de l’homme, allant même jusqu'à le griffer quand la passion, le plaisir se faisait trop fort, en fait elle ne réfléchissait plus, son corps seul semblait en état de réagir, son cerveau lui était noyer sous un instinct millénaires. Elel sentit un instant ces ongles griffer la peau du jeune homme, bien quoi a cet instant elle se fait féline son corps ondulant le plus possible au rythme qu’il imposait, elle lui répondait avec toute la passion qu’elle ressentait pour lui.

Il monte encore et encore, ce plaisir elle le sent, les vagues se font de plus en plus fort, de plus en plus ravageuse, et ces cris se font plus rauque, plus profond, signe qu’elle ne vas pas tenir longtemps a se rythme.. Mais qu’elle importance… Un gémissement, et elle viens capturer les lèvres de l’homme, les mordant même sous l’envie qu’elle avait de lui…

« Victor…victor… »

Parler pour dire qu’elle ne tiendra plus, que ces vague de plaisir se font trop forte, qu’une vague de jouissance plus forte que les autre arriver, ces mains qui se crispe, son corps qui se raidit sous les assaut, autant d’indice pour dire qu’elle vas éprouve pour la premier fois un orgasme, mais elle ne saurais l’exprimer cet instant, tous ce qu’elle peu faire c’est ce cambre et gémir, et surtout l’embrasser, partout ou elle peu, ces lèvres, ces joues, son coup, et le mordiller même, quoi folle ou d’envie et de plaisir.

Se laisser aller, le laissez mener la danse, et se calquer a son rythme en fait, jamais elle n’avait eu temps de plaisir a danser… Jamais non plus elle n’avait danser de cette façon. Tous ce qu’elle avait fait avant n’était que le prémices d’autre chose. Elle se sentait si vivante, si entières a cet instant, comme si il lui avait toujours manquer quelque chose… Comme si a présent elle pouvait voir autre chose, elle se sentait complètement libre.
Elle aimait le regard du jeune homme, elle aimait son corps sur le sien, chacun de ces mouvements qui lui faisait perdre le contrôle, mais cela n’était pas grave, ce n’était rien, elle pouvait vivre.

Elle avait presque l’impression de ressentir tout ce qu’il ressentait, comme si elle ne faisait plus qu’un avec lui. Bien qu’elle ne comprenne pas tout, elle acceptait simplement sans réfléchir, elle voulait juste ressentir, toute se plaisir, cette force qu’il dégageais… Elle avait déjà ressentit ce sentiments de fusion, quand elle perdrais le contrôle de ces pouvoirs, et que les plantes fusionnait avec elle…

Un gémissement plus fort alors que le plaisir monte encore d’un cran, toujours plus loin toujours plus fort… Son corps qui se cambre, le plaisir qui la ravage totalement, un jouissance comme elle n’en a jamais connus qui lui ravage le corps, un cris qui s’échappe de ces lèvres, elle ne comprend pas trop ce qu’elle viens de ressentir, mais elle sait qu’elle voudra le ressentir encore… Doucement son corps se détends, alors qu’elle cherche son souffle, elle se sent épuisée, comme quand elle danse de trop, comme quand elle se laisse aller pendant des heures a la danse… Un sourire flotte sur ces lèvres… Non vraiment elle ne regrette rien, rien de rien.

Elle ne sent pas la dureté du sol, en fait elle sent juste la chaleur du corps de Victor… Et elle se sent bien, en sécurité a sa place… Tiens il y a quelque chose qui ne vas pas, doucement elle serre le jeune home contre elle, ces doigts fin caressant ces cheveux, elle ne comprend trop pourquoi il pleure, mais elle n’a qu’un envie le consoler, juste être la pour le soutenir… Doucement se déplacer, juste un peu pour se mettre correctement.. Tiens le sol de la cabanes était couvert d’herbe.. OU alors c’est elle qui a fait cela… aucune importance, mais elle a quand même l’impression de se retrouver au milieu d’une jungle c’est si paisible, doucement bercer Victor, juste pour profiter de sa présence prés d’elle…

Prenant son visage entre ces mains, elle oblige le mutant a relever son visage, ces yeux vert prairies brillait avec force, aucun regret , juste un sentiment parfais, celui d’une femme satisfaites heureuse… Tranquillement prendre la paroles d’un voix calme chaleureuse, satisfaite aussi.

« J’espère que tu n’es pas désolé de ce qui s’est passé, moi je ne regrette rien… Tu sais je t’aime… Et je ne me suis plus sentie aussi bien depuis longtemps. En fait je devrais te remercier… J’ai l’impression de renaître depuis que je t’ai rencontré. »

C’est vrai, plus que vrai, avant la peur la retenais toujours, elle ne se liait pas au gens, parce qu’il lui faisait mal, mais ce qui la poussait ver le jeune homme était trop fort elle ne pouvait pas s’en empêcher, doucement du bout des doigts elle essuya les joues du jeune homme, elle se fichait du pourquoi de ces pardons, de ces désolé, elle savait juste qu’elle pouvait lui pardonné… puis se penchant elle viens capturer doucement les lèvres du jeune homme, un baiser, doux mais passionner, qui dans un sens montrait combien elle tenait a lui, elle n’était pas vraiment pour douée pour parler, mais ces yeux son corps, ces baiser parlais pour elle. Détachant un instant ces lèvres des siennes, elle murmure doucement, comme si elle avait peur de ce qu’elle disait… Des mots rien que pour lui, des secret qu’on ne doit pas dire.

« Tu sais moi je te pardonne, et puis j’accepte tous ce que tu es… Sans limites, il n’y a rien qui me plaise pas chez toi, que tu sois toujours mutant ou non.. Que tu laisse ton instinct ressortir ou non… Je t’accepte c’est tout. »

Un sourire doux, lumineux, elle semble apaisée, vivante, chaleureuse, un peu comme la nature, la forets quand elle refleuris, ou elle semble s’ouvrire, fleurire de plus en plus… Doucement caresser le visage du jeune homme, et laissez la chaleur qu’elle ressent se répondre en lui, doucement, comme pour l’apaiser, une chaleur, qui normalement soigne les blessure, mais elle ne sait pourquoi c’est différents cette fois, juste apaiser, et transmettre, cette sensation de bien être qu’elle ressent…
Doucement coller son front a celui de l’homme, et se noyer dans ces yeux, elle veut juste qu’il reste prés d’elle, qu’il ne s’en aille pas trop loin, elle ne demandera rien d’autre…

Elle le sais, elle a changer, quelque chose en elle, viens de naître, qui la rendra plus forte ou plus facile, qu’est-ce qu’elle en sait, mais elle sait qu’elle se sent bien…

« merci. »

Oui merci de ce que tu viens de m’offrire… Merci, de cette force que tu viens de faire naitre…