les courses, une corvée

Depuis la nuit des temps, l’enfant des ténèbres détestait les magasins, quand ce mot lui passait a l’esprit, ça lui donnait l’envie de vomir. Il se demandait même si ce n’était pas le trucs qui détestait le plus, lorsqu’on mettait la chaleur de coté. Pour quelles raisons n’aimait il pas faire la boutique ? Outre le fait qu’il était un homme et que les hommes n’aimaient pas le shooping pour l’ennuie, lui il ne supportait pas se retrouver au beau milieu d’une foule. Du bruits, des bousculades, des enguelades et du manque de savoir vivre, voila tout ce que Tristan avait le droit quand il allait en ville. Pour une personne aussi calme et solitaire q que lui, il était évident que ce genre ne lui correspondait pas du tout. Sur quoi, vous vous doutez bien qu’il ne pouvait qu’être sur les nerfs; en sachant pertinemment qu’il devait se rendre au centre commercial. Cette fois ci, c’était a cause d’une urgence de dernière minute, du genre: fournitures. Non pas pour les cours, quoi que si il avait quand même besoin d’un ou deux trucs pour les études, mais surtout pour deux de ses passions principales. Celles-ci ne pouvant qu’être que le dessin et l’écriture, Tristan manquait cruellement de feuilles cansson et d’encres. Oui se déplacer juste pour cela était quand même un peu pousser de sa part, mais bon s’il y tenait vraiment, pourquoi pas. De plus que bon, il n avait pas grand-chose a faire de sa journée, mise a part de traîner dans l’institut des mutants.

Aujourd’hui, il était vêtu de la plus simple tenue du monde, qui n’était un t shirt marron avec des manches longues, et un pantalon noir en velours. Ses cheveux qui retombaient soigneusement sur ses épaules, et autour de son cou on pouvait voir son magnifique pendentif au forme de goutte d’eau. La démarche de l’enfant des ténèbres était lente mais très élancer, dont on pouvait voir qu’il n’était pas du tout pressé comme la plupart des gens. Cependant, il essayait en vain éviter toutes bousculades, histoire de ne par créer une éventuelle dispute. Sur quoi et alors que peu de personne regardaient ou ils marchaient, Tristan en faisait toute une fixation. Et cela jusqu’à qu’il tombe sur la boutique qu’il voulait, c est a dire une papeterie qui faisait aussi liberie. Par chance, il n’y avait pas tellement de monde et il ne faisait pas chaud, comparé aux autres boutiques ou ils oubliaient souvent de mettre la ventillation. Cette boutique, Tristan y venait souvent, en trouvant qu’il y avait des bons produits et que s’était très bien espacé. Sur quoi, il n’avait pas eut de mal a trouver ce qu’il était venu chercher, avant de remarquer qu’il y avait toujours la même vendeuse en caisse. Après avoir payer ses achats, il sortit du magazin sans même penser a jeter un petit coup d œil sur les nouveautés. A croire qu’il en avait déjà marre d’etre dans toute cette foulle, et que l’envie de retourner au calme dans l’institut. Malheureusement pour ce jeune homme, a peine sortit du magazin, il fut de suite interpellé par une jeune fille.